Les meilleurs films de 2021 selon JéJé fait son Bagou

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BAC NORD de Cédric Jiménez est un grand film qui présente une réalisation digne des plus grands cinémas du genre avec des acteurs d'une incroyable authenticité qui détruisent tout sur leurs passages par le biais d'un drame social au sujet chaotique voué a de nombreux débats houleux mais certainement nécessaires, bien que l'intention de cette œuvre soit autre part.
Un film coup de poing spectaculaire, intense, brutal, puissant et émouvant, à couper le souffle. Préparez-vous au choc.

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Denis Villeneuve marque avec Dune tout un pan de la science-fiction en proposant un contrepied aride merveilleux et spectaculaire aux blockbusters qui pullulent le système hollywoodien. Villeneuve s’emploie à développer un univers d'une richesse phénoménale qui n'est pas passé loin du sans faute en révolutionnant les codes narratifs et esthétiques tirés du roman de Frank Herbert. Un premier film à la hauteur qui pose les bases d'une nouvelle saga qui je l'espère marquera l'industrie du cinéma.
Un blockbuster d'auteur captivant, saisissant et bluffant.

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Justice League de Zack Snyder est une véritable bombe aux possibilités incroyables transcendant le film de super héros conventionnel pour devenir une fresque incroyablement épique mettant en avant une véritable déclaration d'amour aux comics et aux personnages qui sont sublimés. Adieu les nombreuses aberrations de Whedon et du studio Warner et bienvenue à la vision improbable de Snyder qui trouve enfin justice dans toute cette injustice. Dans son ensemble Zack Snyder présente une trilogie incroyable qui forme à mon sens une saga parfaite à laquelle il ne manquerait plus qu'un film ou deux pour conclure la lutte contre Darkseid.
"Snyderverse", je t'en conjure reviens-nous.

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The Harder They Fall de Jeymes Samuel est un western pop de haut vol qui offre une véritable figure de style à la mode qui présente un concept fantaisiste, truculent et jouissif au cours d'un récit inspiré mais pas basé sur des événements réels. Une fan fiction techniquement irréprochable accompagnée par un casting très solide qui parle dur et qui frappe fort avec des séquences d'action aux chorégraphies percutantes, soutenues par des choix musicaux peu orthodoxes dont une cinématographie magnifique.

Un western traditionnel sauce blaxploitation percutant et débridé puisant sa force dans les plus grands succès du genre pour offrir un spectacle aussi riche que jouissif.

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J'adore Viggo Mortensen, mais alors là c'est la performance incroyablement géniale de Lance Henriksen qui m'a littéralement scotché sur place. Si Anthony Hopkins mérite son oscar du meilleur comédien pour Father, Lance Henriksen le mérite doublement autour de ce film qui traite encore mieux cette cruelle maladie.

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Cruella est une adaptation surprenante superbement réalisée par Craig Gillespie qui m'aura bien bluffé avec son blockbuster vivant qui vous transmet la pêche et vous donne envie de replonger dans l'univers de ce protagoniste mythique. Une réalisation au top du top à travers un scénario simple mais intelligent qui laisse libre cours à une Emma Stone absolument remarquable. Un vrai plaisir!
Qui l'aurait cru ? En tout cas, pas moi.

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Fear Street-Partie 2 : 1978 de Leigh Janiak et produit par Netflix qui adapte la saga littéraire d'horreur pour adolescents à succès "Fear Street" de R. L. Stine, est une excellente suite qui surpasse le format "lettre d'amour au slasher sous forme d'hommage" proposé par le premier film pour devenir une entité autonome à part entière qui va s'approprier le mythe du Vendredi 13 pour mieux le digérer et avec réinventer les codes du slasher. Une sacrée ambition à laquelle la réalisatrice Janiak répond de la meilleure des manières en proposant une suite faisant tout en mieux. Bien que les comédiennes principales livrent un travail d'interprétation fantastique (en particulier Sadie Sing) autour d'un drame familial des plus intéressants, j'ai une préférence pour les personnages du premier film qui sont peut-être moins bien travaillé, mais bien plus sympathique.
Avec ce second épisode, la licence Fear Street devient un incontournable du genre. Un slasher à part entière avec ses propres codes. Des félicitations sont de rigueur.

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Une bouffée d'air frais qui m'a réellement éclaté. Juste un petit défaut de rythme durant la moitié du récit avec 15 minutes de ventre mou, mais pour le reste du fun à l'état pur avec un message familial magnifiquement orchestré. L'animation est géniale.

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Pierre Pinaud présente avec "La Fine Fleur" un beau film sur le métier d'horticulteur qui n'oublie pas d'émettre toutes les difficultés sociales de la profession, mais aussi toutes ses joies et ses beautés. Une oeuvre pleine de bons sentiments qui livre avec fascination un véritable apprentissage dans le domaine horticole avec l'hybridation des roses, sans pour autant oublier de rendre son film distrayant avec des péripéties bien gérées qui alternent brillamment le comique avec le dramatique. Chapeau bas aux comédiens qui sont tous très bon. Particulièrement Catherine Frot qui une fois encore vise juste et fort.
Une vie sans beauté se résume finalement à peu de choses

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Black Widow réalisé par Cate Shortland est une belle surprise que je n'attendais pas du tout, peut-être parce qu'il est le film de la saga qui fait le moins MCU avec des thèmes abordés très graves via des séquences difficiles (toute proportion gardée) avec une caméra qui ne se détourne pas des nombreuses victimes humaines. Il se dégage un certain sérieux dans la composante dramatique de l'intrigue avec des relations efficacement complexes autour de tous les personnages avec des séquences d'actions exceptionnelles qui offrent un divertissement de haut niveau. Bien entendu, tout ceci est à mesuré et a nuancé, car cela reste néanmoins un film appartenant à l'univers du MCU ce qui fait qu'on n'échappe pas à certains éléments faciles pleins de niaiseries de la franchise.
Black Widow est le film qui m'a fait oublier que je regardais un MCU.

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Fear Street - Partie 3 : 1666 de Leigh Janiak et produit par Netflix qui adapte la saga littéraire d'horreur pour adolescents à succès "Fear Street" de R. L. Stine est une conclusion solide à la trilogie, qui dans l'ensemble s'est avérée très agréable à regarder entre les divers hommages et références à la pop culture ainsi qu'au genre slasher, qui ici subit une réappropriation des plus intelligentes. La réalisatrice, Leigh Janiak ainsi que l'équipe l'accompagnant ont proposé avec cette adaptation cinématographique une trilogie horrifique qui ne marquera peut-être pas l'histoire du cinéma, mais qui assurément restera un excellent cru pour tout fan du genre slasher avec une contextualisation originale et inédite sur différentes époques génialement mis en boîte. Une nouvelle trilogie d'horreur digne de faire partie des bons slashers. Leigh Janiak est une réalisatrice que je vais à partir de ce jour suivre de très près. Bravo à Netflix pour cette proposition certes imparfaite mais clairement originale, jouant des codes du slasher ainsi que du côté rétro, ringard et cliché de la saga littéraire Fear Street pour en faire une reconduction assumée du genre.

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Film coup de poing pour la performance incroyable de Daniel Kaluuya qui est possédé par son rôle. Une histoire vrai surprenante autour d'un sujet grave avec des personnages emblématiques.

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Décalé, fun et violent, ce petit film d'horreur fait un bien fou à voir notament pour son hommage avéré au slasher des années 90 mais aussi ses très nombreuses références cinématographique ainsi qu'à la pop culture. Pas incroyable, mais reste un divertissement honnête et jouissif. Un film sans prise de tête, adressé aux fans du slasher.

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Petite suite plutôt bien fichu certainement trop court. Une nouvelle plongée dans c'est univers appocalyptique qui j'en suis sûr nous réserve encore quelques surprises. Emily Blunt, je t'aime.

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Amy Adams est une fois encore exceptionnelle dans ce personnage torturé auquel elle donne beaucoup de crédibilité. Gary Oldman je me demande ce qu'il faisait dans ce film de même que Julianne Morre tant ils sont anecdotiques. Un bon film à suspens qui fonctionne plutôt bien avec un final percutant à travers un rythme instable avec quelques petits vides mais dans l'ensemble cela reste une proposition plus que suffisante.

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La mise en scène est gigantesque et le jeu d'acteur d'Hopkins l'est tout autant. Un film à découvrir avec émotion qui une fois terminé nous laisse pensif devant une telle maladie. Dramatiquement fort, mais d'un point de vu cinématographique je ne prendrai pas de plaisir à revoir un tel film.

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Un bon épisode dans l'esprit du premier film qui parvient à faire du bon mais aussi du moins bon. On retrouve les personnages qu'on apprécie, l'esprit de la franchise est toujours là. Chapeau à la confrontation finale qui envoie du lourd.

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Fun, jubilatoire et une Salma Hayek qui défouraille tout sur son passage. Un film très con, mais très bon.

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Quel plaisir de retrouver le couple Warren avec ce troisième film qui ets certes le moins bon de la trilogie, mais qui parvient tout de même à livrer de l'inédit autour de la menace et j'apprécie l'effort.

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Enfin on explore le passé de Kenshin. Dramatiquement c'est un excellent film. La relation Tomoe/Kenshin est touchante et le final crève coeur. Par contre même si la violence est bien illustrée à l'écran avec des coups assez brutaux, je trouve que ce film est de loin le moins impressionant en combats et en chorégraphies. C'est un comble pour le chapitre sensé être la phase la plus violente de Kenshin. Je m'attendais à mieux.

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Très agréable surprise autour de ce huis clos dans l'espace qui offre une longue séquence extrêmement tendue.

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Petit film d'animation mouvementé qui sur les premières 20 minutes qui ne m'a pas beaucoup convaincu, à travers un rythme molasse et une animation pas très reluisante qui heureusement trouve toute sa force après coup par le biais d'un récit qui revitalise l'ensemble via des personnages attachants. Une belle histoire d'amitié, touchante, drôle, dynamique et enjouée.

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Manque un peu de folie dans ce film film intimiste qui reste néanmoins véritablement frais et jovial pour les jeux extraordinaires des comédiens Dujardin et Gadebois.