Ma discothèque idéale

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Un album que j'ai écouté des millions de fois et dont je ne me suis jamais lassé, un chef-d'oeuvre d'un groupe qui en a aligné plusieurs durant l'ère Bon Scott. Rythmique implacable, riff assassin, déferlement de solos façon Angus Young et le tout emmené par un génial et malicieux Bon Scott. La recette est connue, elle est aussi simple qu'efficace et beaucoup ont tenté de la reprendre, mais personne n'a jamais atteint la maestria d'Ac/Dc dans ce domaine.

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Yeah, AC/DC assure toujours autant en concert !
Certes, ça ne surprend pas, mais autant ne pas écouter AC / DC si c'est pour être surpris, les chansons sont superbement joués, c'est électrique à souhait, on connait toutes les chansons et que c'est plaisant de bouger sa tête tout le long de l'album.
On notera, en particulier, 18 minutes de Let There Be Rock, et des versions diabolique d'Highway to Hell, Shoot to Thrill ou encore T.N.T.

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Montrant déjà une parfaite alchimie pour mieux sublimer leurs mélodies et hard rock, Aerosmith propose un premier album tout simplement remarquable, à la fois efficace, agressif et trippant, donnant envie de bouger à l'écoute d'un blues et rock parfaitement maîtrisés.

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37 minutes pour un tour de force incroyable où Aerosmith passe de clone sympathique des Stones à véritable groupe capable d'explorer plusieurs territoires musicaux différents avec talent, efficacité et folie. Un sommet du groupe et même du rock.

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Troisième album avec William DuVall et sixième pour Alice in Chain, Rainier Fog est une grande réussite, mélodique sans pour autant renier ses origines, les riffs sont toujours lourds et la guitare saturée.
Les voix font merveilles, sublimant chaque chanson, alors qu'il n'y a aucune fausse note, avec plusieurs morceaux mémorables (le bien rock Rainier Fog, Fly et ses somptueuses guitares ou le surprenant Deaf Ears Blind Eyes). On sent que le groupe s'inspirer de nombreuses musiques pour mieux créer son propre son, Rainier Fog fait ressortir toutes ces influences. Pourtant l'album forme un ensemble cohérent, avec une atmosphère traversant l'album, lourde, sombre et mélancolique.

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Funeral for a Great Drunken Bird donne de suite le ton, l'ambiance sombre et envoutante se pose, et les riffs façon Led Zep dépoussièrent l'ampli. Peu à peu, les moments calmes apparaissent, alternant avec d'autres plus électriques, mais toujours avec une cohérence dans l'atmosphère. Les instruments forment une alchimie, la batterie, forte, amplifie le côté sombre, et les guitares savent être discrètes lorsqu'il le faut, ou user d'effets particuliers. Il est finalement difficile de séparer les chansons, l'album entier forme un ensemble compact, cohérent et nous entraînant dans un mémorable voyage musical.

Merci El Grande OG.

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Un album qui s'écoute sans fausse note, avec l'impression d'être au coin du feu ou dans un bar dans l'Amérique profonde de la fin des années 1960. C'est chaleureux, assez beau, avec une belle osmose entre guitares, clavier et voix et quelques morceaux qui sortent particulièrement du lot.
Rag Mama Rag ou The Night They Drove old Dixie Down en particulier, et tout s'enchaîne avec fluidité et cohérence.

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Capable de nous faire ressentir la chaleur en hiver et de délicieusement nous immerger dans un univers mélodieux, les Beach Boys proposent avec Holland une oeuvre aussi forte que brillante, où ils se montrent créatifs tout en défiant le temps.

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La perpétuelle révolution musicale orchestrée par les Beatles prend une nouvelle tournure avec Revolver, repoussant les frontières, avec un quatuor qui casse l'idée d'un genre musical, préférant les mixer, avec une créativité folle et donnant, à la fois un album cohérent avec une parfaite alchimie (j'oserais dire le meilleur du groupe) et un lot de pépites inoubliables, un pur concentré rock, psychédélique, innovant et magnifique.

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Dernier album "voulu" des Beatles, Abbey Road est une concentration de tout ce que les membres pouvaient apporter et d'une alchimie bien présente. Ils sont inspirés et une atmosphère particulière traverse l'album, celle d'une mélancolie heureuse, d'une fin prévue mais qui se déroule bien. Quelques titres sont mémorables et le quatuor de Liverpool continue d'expérimenter, à l'image d'une dernière partie mémorable.